Institut de la myopie

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INSTITUT DE LA MYOPIE

4, avenue de La Bourdonnais 75007 Paris

Vos questions sur le Lasik

C’est l’acronyme de « Laser Intrastromal Keratomileusis » : « moulage cornéen intra stromal au laser ».
Vous arriverez à la Clinique Lamartine environ ½ heure avant l’intervention. Il est préférable de prendre un comprimé (Atarax) permettant de vous détendre environ une heure avant le Lasik. Un examen de contrôle, et certains examens nécessaires à l’opération seront réalisés (topographie cornéenne, aberrométrie) avant le lasik. Inutile d'instiller des collyres dans les yeux les jours précédant le traitement. Seul un collyre anesthésiant pour insensibiliser la cornée (seule partie de l'œil opérée) sera instillé avant le traitement au bloc opératoire. Vous serez accompagné(e) dans la salle opératoire après avoir revêtu une tunique. Pour des raisons techniques et d'asepsie, la température de la salle est d'environ 18°. Vous pourrez donc garder une chemise ou un pull léger. L’œil non traité sera masqué afin de faciliter la fixation du faisceau laser avec l'œil en cours de traitement. Il vous sera ensuite demandé de vous allonger sur le dos et de positionner la tête horizontalement sous le laser. Le pourtour de l'œil sera désinfecté avec de la Bétadine (prière de prévenir en cas d'allergie à l'iode) et des gouttes anesthésiques et antibiotiques seront instillées dans l'œil traité. Votre œil sera ensuite positionné dans l'axe du faisceau laser et vous regarderez une petite lumière verte qu'il faudra bien fixer pendant l'intervention. Après avoir protégé vos cils à l'aide d'un tissu collant, un petit instrument (blépharostat) vous aidera à maintenir les paupières ouvertes pendant l'intervention. Une petite ventouse (ou anneau pneumatique) sera ensuite posée sur votre œil. Cette ventouse masque la lumière et vous ne verrez progressivement pratiquement plus de l'œil jusqu’à ce que la ventouse soit retirée. Cette ventouse, qui permet de fixer l'œil et de réaliser la découpe de la lamelle superficielle de votre cornée avec le laser femto seconde ou le micro kératome, sera retirée après une quinzaine de secondes. Il faudra alors bien regarder la lumière verte (mire) du faisceau laser. Le laser est équipé d'un eye-tracker qui permet au laser de suivre votre œil même s'il bouge, et assure le parfait centrage du traitement laser. Si l’amplitude du mouvement est trop importante, le laser s'arrête automatiquement, ce qui est une sécurité supplémentaire. Le traitement peut reprendre ensuite. Il est cependant toujours préférable de bien regarder dans la mire afin de raccourcir le temps du traitement laser. La durée du traitement varie en fonction de l'importance de l’amétropie corrigée, de quelques secondes à 30 secondes. A la fin du traitement laser, la petite lamelle découpée au préalable est replacée sur son lit stromal et des gouttes d'antibiotiques sont instillées sur l'œil. Après quelques instants de repos, le deuxième œil peut être traité. Juste après l'intervention, vous constaterez déjà la disparition de la myopie, de l'astigmatisme et/ou de l'hypermétropie. Cependant, la vision n’est pas nette, car il existe toujours un petit œdème de la cornée après l'intervention. Il faut attendre quelques heures pour voir correctement. Environ 30 minutes après l’intervention, un examen permettra de s’assurer que la lamelle est bien positionnée et que vous pouvez quitter la Clinique.
Non. C’est une chirurgie indolore. Le seul moment légèrement sensible est celui où la ventouse est posée sur la cornée. Des collyres anesthésiants rendent cette phase très supportable. Le passage du rayon laser sur l’œil est totalement indolore. Vous sentez les mains du chirurgien sur votre front. Après le lasik, une sensation de picotements et de paupières lourdes avec larmoiements peut durer quelques heures. L’idéal est de profiter de l’effet des médicaments pris avant le lasik pour dormir une heure. Un simple picotement dû à une légère sécheresse peut durer quelques heures, soulagé par l’instillation de larmes artificielles.
Au début, vous voyez des lumières blanches ou colorées qui éclairent votre œil. Il faut se détendre en regardant vers le plafond. Ensuite, une ventouse est posée sur votre œil. La lumière d’ambiance s’estompe et vous ne voyez plus rien avec l’œil opéré. L’autre étant masqué, vous êtes dans la pénombre pendant 20 secondes. La ventouse est ensuite retirée, et vous voyez de nouveau, mais flou. Il vous faut fixer une lumière verte. Le traitement au laser excimer peut alors commencer. Vous ne voyez pas le rayon laser, mais vous entendez le bruit du laser et sentez une odeur de brulé, bien que le laser ne brule pas la cornée.
Vous êtes allongé(e), la tête est placée dans une cale tête, ce qui limite fortement les mouvements. Une fois l’œil endormi avec 2 gouttes de collyre, un petit instrument (le blépharostat) maintient vos paupières ouvertes. Le seul moment où vous ne devez pas bouger est celui où est posée la ventouse. Le Docteur Stéphane Ganem vous rappellera alors de rester immobile. Pendant le traitement laser, un eye tracker permet au laser de suivre les petits déplacements de votre œil. S’il est préférable de ne pas bouger, vous devez savoir que, en cas de mouvement plus important, le laser s’arrête immédiatement. Il vous faudra fixer la lumière verte au dessus de vous, et le traitement pourra repartir.
L’instillation de collyres permet une anesthésie profonde suffisante de la surface de l’œil On ne pratique jamais d’anesthésie générale ou régionale, ni de piqûres. Un calmant pris une heure avant le lasik vous aide à vous détendre.
Le LASIK se pratique en ambulatoire : vous arrivez à la Clinique Lamartine 30 minutes avant l’intervention, le temps de réaliser quelques examens. Après l’intervention. Vous serez raccompagné(e) en salle de repos où vous pourrez vous désaltérer et vous détendre. Un examen sera réalisé avant votre sortie de la Clinique, environ deux heures après votre arrivée.
Pour les deux yeux : 15 minutes, toutes préparations incluses (désinfection de la peau, mise en place des champs stériles, de l’instrument qui maintient les paupières ouvertes…). La durée du traitement laser en soi est variable en fonction du défaut optique à traiter : entre 5 et 30 secondes.
OUI le plus souvent (sauf opposition du patient).
Vous devez poser toutes les questions qui vous préoccupent à votre chirurgien le Docteur Stéphane Ganem, être en confiance, rassuré(e). - La veille de l’opération, vous pouvez prendre un médicament pour mieux dormir. - Une heure avant le Lasik, un comprimé vous aidera à vous détendre. - Une fois dans la salle d’opération, une équipe de professionnels prendra soin de vous, vous parlera, vous mettra en confiance, tiendra votre main. - Vous serez allongé (e) et le Docteur Stéphane Ganem sera derrière vous et vous parlera, vous expliquera ce qu’il faut faire, et ce qu’il fait. Vous pourrez aussi lui parler.
Vous êtes raccompagné(e) en salle de repos où vous pouvez vous restaurer, dormir. L’examen de votre œil après l'intervention permet de s'assurer qu'il n'y a pas de déplacement de la lamelle. Vous pouvez alors quitter la Cinique et aller vous reposer chez vous. Vous ne pouvez pas conduire car la vue reste floue pendant 3 à 4 heures environ. Des gouttes antibiotiques, anti-inflammatoires et des larmes artificielles sont instillées une heure après le lasik, puis en milieu d’après midi et le soir, puis, dès le lendemain, matin, midi et soir pendant quelques jours après le lasik. Dans les heures qui suivent, vous pouvez ressentir un picotement avec sensation de grain de sable, majoré par le clignement des paupières. L'œil peut être légèrement rouge et larmoyant. Une petite tâche rouge peut apparaître sur le blanc de l’œil, cela ne doit pas vous inquiéter. Le picotement s’atténue dans les heures qui suivent. Juste après l’intervention, vous pouvez constater la disparition de la myopie, hypermétropie ou astigmatisme. Cependant, votre vision ne sera pas nette, car il existe toujours un petit œdème de la cornée après l'intervention. Cet œdème met quelques heures, plus rarement quelques jours à disparaître. En général, le soir même ou le lendemain, vous constaterez une nette amélioration, vous pourrez même conduire sans lunettes, surtout si les deux yeux ont été opérés dans la même séance. Vous pourrez observer certains effets secondaires pendant les jours qui suivent l'intervention à savoir une sensation de sécheresse oculaire, un picotement notamment lorsque vous frotterez vos paupières , des halos nocturne ( anneau flou autour des sources lumineuses, phares etc.), voire un léger dédoublement. Ces effets secondaires tendent à disparaître dans les jours et pour certains d'entre eux dans les semaines qui suivent l'intervention. Le deuxième examen - environ 4 à 6 jours après l'intervention - permettra de contrôler la cicatrisation, votre acuité visuelle, le centrage du traitement laser, l'absence de complications. La récupération visuelle met quelques heures pour les amétropies faibles, elle est plus lente pour les amétropies fortes : la vision est satisfaisante le lendemain du lasik, et s’améliore dans les jours suivants. Dans le cas où les suites ne seraient pas conformes à ce qui est décrit, n'hésitez pas à prendre contact avec le Docteur Stéphane Ganem.
Oui, mais vous pouvez être gêné (e) pendant quelques jours. Il faudra être bien éclairé, avec un écran sans reflets, et éviter si possible les séances prolongées devant l’écran pour éviter une fatigue visuelle. Instillez régulièrement des larmes artificielles. Le LASIK s'accompagne parfois d'une sur correction les premières semaines, c’est à dire que le myope devient légèrement hypermétrope et réciproquement. Aussi la vision de près peut être légèrement perturbée les premières semaines (surtout après 30 ans). Après 45 ans, la presbytie apparaît. Le port de verres correcteurs pour la lecture et le travail sur ordinateur s’impose alors, sauf si un des deux yeux est légèrement sous-corrigé pour prévenir la presbytie.
La myopie (inférieure à -12.00 dioptries) selon l’âge, la forme et l’épaisseur de la cornées). L'astigmatisme (inférieur à 5.00 dioptries). L’hypermétropie (inférieur à 5.00 dioptries). La presbytie. Les aberrations optiques de degré élevé.
Sauf cas très particuliers, cette intervention s'adresse aux patients de plus de 18 ans, dont la réfraction (myopie ou hypermétropie) est stable depuis plus d’un an. Il n'existe pas de limite d'âge supérieur En effet, un sujet de 50 ans peut bénéficier d'un traitement lasik pour ne plus être myope. Cependant, si ses deux yeux sont corrigés pour voir de loin, il aura besoin de verres correcteurs pour voir de près. Ainsi, si vous avez plus de 45 ans, la chirurgie de la myopie ne créera pas mais révélera sa presbytie. En d'autres termes, au lieu de retirer vos lunettes pour voir de près, vous aurez besoin d'en porter. Si vous préférez ne pas porter de lunettes même pour voir de près, il est possible de laisser une petite myopie sur un des 2 yeux, un pour la vision de près, l'autre de loin. Si vous êtes hypermétrope, l’intervention améliorera considérablement la vision de près. Chez le sujet plus âgé, il peut être préférable de proposer une extraction du cristallin avec implant permettant de corriger myopie, hypermétropie, astigmatisme et presbytie, surtout si le cristallin présente des signes de cataracte.
Comme tous les organes, l’œil est en constante évolution, surtout chez les sujets très jeunes. La myopie par exemple peut évoluer avec l’âge en se majorant. Il est donc préférable de se donner toutes les chances d’opérer un œil stabilisé afin de ne pas avoir à retraiter cet œil quelques années plus tard. Il faut souligner qu’il est impossible de certifier que la myopie est stabilisée pour un individu donné. Cependant, même si elle évoluait légèrement, il est préférable de vivre avec une myopie de - 1.00 que de - 15.00 dioptries !!!
Les intolérances aux lunettes ou lentilles de contact - que l’intolérance soit psychologique ou physique -, les sportifs, la qualité de vision insuffisante avec les lunettes, les verres progressifs. En fait, tous ceux et toutes celles qui ne veulent plus vivre avec cette dépendance permanente aux lunettes, parfois motivés par des considérations d'ordre esthétique, pratique ou professionnelle.
Cette maladie est due à des Prions, sortes de micro agents infectieux que l'on ne peut encore dépister par des tests biologiques. Les mécanismes de transmission sont toujours en cours d’étude. Pour l'éviter, tous les instruments subissent des cycles de stérilisation répondant aux normes anti-prions les plus strictes.
Ne portez plus vos lentilles quelques jours à quelques semaines avant l'opération selon leur type. Aucun traitement oculaire spécifique n’est utile. Il est préférable d’éviter toute activité pouvant favoriser une conjonctivite : moto, piscine etc. Le jour de l’opération, ne vous maquillez pas et démaquillez vous parfaitement la veille. Un shampoing le matin de l’opération évitera de les laver le lendemain.
Les lentilles souples doivent être retirées au moins 48 heures avant l'intervention. Les lentilles dures doivent être retirées au moins 8 à 10 jours avant car ces dernières modifient la forme de la cornée.
N’oubliez pas d’instiller les gouttes des collyres prescrits. Evitez piscine, moto et toute activité qui pourrait être traumatiser, ou infecter les yeux pendant trois jours. La pratique du sport peut être reprise dans un délai variant de quelques jours à un mois selon le type d'activité pratiquée. Le maquillage du bord des paupières et des cils est déconseillé pendant quelques jours. Il faudra éviter les atmosphères enfumées pendant quelques jours. L’alcool et le tabac sont autorisés « avec modération… » Les voyages (voiture, train, avion) sont possibles dès le lendemain. Pour l’avion, prévoyez des larmes artificielles pour hydrater la cornée. L’exposition au soleil est possible avec les protections adéquates. Le bronzage en cabine est possible en utilisant les lunettes protectrices habituelles.
Le but de l'opération est de remplacer les lunettes ou lentilles. La vision post opératoire sans correction sera le plus souvent comparable à la vision préopératoire avec correction. Dans 5 % des cas, la vision peut être légèrement différente dans un sens ou l'autre.
Le coût d'une opération lasik varie entre 1300 et 1500 € par œil, selon la technique utilisée, les examens nécessaires, le degré d’amétropie. Ce coût est justifié par le degré technologique nécessaire pour opérer cet organe si précieux que sont vos yeux, dans les conditions de sécurité maximale, avec les appareils les plus récents. Un devis vous sera donné avant l’intervention afin que vous puissiez vous informer du remboursement éventuel par votre mutuelle. Le règlement peut s’échelonner sur 3 mois.
Le chirurgien : titres, travaux, fonctions, expérience, notoriété, parcours professionnel et spécialisation. (Voir C.V. du Docteur Stéphane Ganem). Le Centre : Plateau technique - Qualité des blocs - Personnel – Site. Le pays et la ville : loyers des locaux…
Sauf cas exceptionnels, il n'y a pas de prise en charge de l'opération par les caisses d’assurance maladie. Elle ne figure pas sur la liste des actes remboursés (nomenclature). Concernant votre mutuelle, certaines prennent en charge une partie de l’opération. N’hésitez pas à contacter votre mutuelle pour vous informer.
Oui, pour améliorer le résultat obtenu (sous correction, sur correction, astigmatisme). Ces ajustements sont très rarement nécessaires (moins de 1 % des cas) en fonction de l’amétropie préopératoire. Ils sont pratiqués quelques jours à quelques mois après le premier traitement. Ils sont pris en charge par le Docteur Stéphane Ganem pendant un an après le lasik.
Les résultats de ces interventions sont le plus souvent définitifs après un délai de stabilisation de 1 à 3 mois selon le degré d’amétropie préopératoire et du type d'intervention choisie. La stabilisation est atteinte entre un et six mois. Cependant, une myopie peut parfois évoluer, surtout chez le sujet jeune ou le fort myope. Après 45 ans, la presbytie progresse et nécessite une correction de près. Après lasik pour presbytie, l’évolution de la presbytie peut nécessiter un retraitement.
Elles peuvent être temporaires -jeune de moins de 18 ans, myopie rapidement évolutive, grossesse, affection oculaire aiguë - ou définitives : maladie cornéenne, inflammatoire, troubles de la cicatrisation…L'œil unique pose le problème du risque d’une intervention chez le monophtalme.
Le lasik myopique repose sur l'aplatissement du centre de la cornée. Le lasik hypermétropique repose sur la cambrure du centre de la cornée. Le lasik pour l'astigmatisme consiste à cambrer le méridien le plus plat et aplatir le plus bombé. Le lasik pour presbyte consiste à cambrer une partie de la cornée (généralement une petite zone centrale) pour faire converger les rayons de près, le reste de la cornée moins convergente pour la vision de loin.
Le travail peut généralement être repris dès le lendemain, sauf si le risque d’infection par un environnement pollué sur les lieux du travail est élevé (Bâtiment), ou que les exigences visuelles sont élevées (Chauffeur routier…).
Non sauf exception. Mais vous pourrez travailler le lendemain du Lasik.
Plus la myopie est élevée, plus il faut l’aplatir et donc amincir la cornée pour la corriger par lasik. La cornée a une épaisseur d’environ 550 microns en son centre avant lasik, et doit être supérieur à 400 microns après lasik, les techniques les plus récentes permettent de corriger une myopie jusqu’à 13 dioptries environ.
Non. Cela n’est jamais arrivé, sur des centaines de milliers d’interventions.
Ces complications sont exceptionnelles. Le plus souvent, elles restent sans séquelles. - Traitement laser irrégulier ou décentré. Grâce à l’eye-tracker, cette complication ne se voit plus. Le traitement consisterait à effectuer un retraitement laser adapté à la nouvelle forme de la cornée et guidé par informatique (traitement personnalisé guidée par la topographie) pour régulariser la forme de la cornée. - Infection. Exceptionnelle dans notre pratique (1 cas sur 10000). Tout geste chirurgical peut favoriser une infection dans les suites. En effet, quelles que soient les précautions chirurgicales prises au niveau de l'asepsie, il faut savoir que des germes font partie de notre environnement immédiat et que le simple fait de sortir du bloc opératoire pour aller dans la salle d'attente ou dans la rue peut être à l'origine d'une infection. Cependant, les antibiotiques à notre disposition sont efficaces, et l'intervention au lasik est une chirurgie oculaire externe, sans pénétration dans l'œil à proprement parler. Aussi, si une infection se produisait, elle serait superficielle et le plus souvent facilement contrôlable par l'antibiothérapie. Cependant, il est recommandé d'être extrêmement vigilant dans les premiers jours qui suivent l'intervention. Tout symptôme anormal - rougeur, douleur, flou - doit vous faire consulter au plus vite. L’infection est prévenue et traitée par l’instillation soigneuse de collyres antibiotiques pendant et après le lasik. Dans certains cas, il faut soulever le capot, réaliser un prélèvement au niveau du foyer, instiller des gouttes d’antibiotiques à son niveau, parfois associées à des antibiotiques par voie générale. Il faut cependant éviter toute activité majorant le risque d'infection telle que la natation en piscine, la moto, l'équitation, le vélo , le maquillage, l’eau du robinet dans les yeux etc … et ce pendant trois à quatre jours après l'intervention. - Problèmes au niveau de la lamelle cornéenne. - Découpe non satisfaisante : la découpe d'une fine lamelle avec des appareils très sophistiqués, et très sûrs comme le laser femto seconde, peut cependant exceptionnellement ne pas permettre le traitement au laser. Dans ce cas, il faudra attendre environ deux mois la cicatrisation cornéenne et recommencer le traitement deux mois plus tard. Cette complication n'engendre pas - sauf cas exceptionnel- de modification de l'acuité visuelle. - Déplacement et plis de la lamelle : un repositionnement et un lissage s’imposent. - Inflammation de la lamelle (SOS syndrome) : les anti-inflammatoires préviennent et traitent cette inflammation. - Invasion épithéliale : les cellules de la surface de la cornée glissent sous la lamelle. Le traitement consiste à soulever la lamelle, nettoyer et éliminer ces cellules, puis repositionner la lamelle. - Les séquelles : (1 cas / 1000) : une diminution de l’acuité visuelle après lasik peut exceptionnellement survenir, mais elle ne limite pas les activités quotidiennes (à titre d’exemple, pour passer le permis de conduite pour les poids lourds, l’acuité visuelle exigée est de 14/20, soit de 7/10 pour chaque œil). Elles sont dues à une irrégularité de la lamelle, une cicatrisation imparfaite, une opacité cornéenne. Le plus souvent, ces séquelles ne gênent pas l’activité des patients. - Ectasie cornéenne. C’est une déformation irrégulière de la cornée, comme dans un kératocône. Il est possible que cette ectasie soit due à un kératocône frustre méconnu avant le Lasik. Le traitement varie selon l’ectasie : cross-linking, lentilles de contact, anneaux intra cornéens, ou greffe de cornée.
Les lasers de la Clinique Lamartine sont régulièrement contrôlés, évalués. Le moindre doute amène à un contrôle par les ingénieurs spécialisés. Les laser sont pilotés par un ordinateur qui est lui même programmé par un ingénieur. Une programmation satisfaisante sur un laser correctement entretenu et maintenu ne peut pas être à l'origine d'erreur réfractive. Cependant, un traitement lasik fait appel à la cicatrisation du tissu et cette dernière peut être à l'origine d'une petite amétropie: myopie, astigmatisme ou hypermétropie résiduelle. Dans ce cas exceptionnel, il faut savoir qu'un retraitement est toujours possible.
Malheureusement, tout matériel mécanique, laser est susceptible de tomber en panne. Dans ce cas, il faut savoir que même si l'appareil tombait en panne pendant l'intervention, cette dernière pourrait être complétée et terminée par un autre laser identique le même jour ou dans les jours qui suivent dans les mêmes conditions de sécurité et avec les mêmes chances d'excellent résultat.
Le risque pour chaque œil est heureusement très faible, Le risque pour les deux yeux est donc deux fois très faible. Ce risque infime peut être pris le même jour ou à quelques jours d'intervalles. Les avantages d'avoir les deux yeux opérés dans la même séance sont les suivants : réduction du stress chirurgical, moins de déplacement pour vous et surtout absence de " décalage " entre les deux yeux. En effet, après une intervention de chirurgie réfractive, il est plus souvent très difficile de supporter les lunettes avec un seul verre correcteur, l'autre ne portant qu'un verre neutre : l'image qui se forme au niveau du cerveau a, dans ces cas là, une taille différente à droite et à gauche et la superposition de l'image (appelée fusion), se fera difficilement, avec dans la plupart des cas une vision double. Aussi, après chirurgie réfractive d'un seul œil, la vision sera pendant quelques temps monoculaire et le patient choisira soit l'œil opéré sans correction, soit l'œil non opéré avec correction. La majorité des patients préfèrent être opérés des deux yeux à la fois pour optimiser les résultats de ces opérations. Sinon un délai de quelques jours est suffisant entre les deux opérations. La solution dans le cas où le choix se porterait sur l'intervention différée du deuxième œil est de pouvoir porter une lentille de contact sur l'œil non opéré en attendant que ce dernier soit opéré.
Environ 23 millions dans le monde. En France, 150.000 lasik se pratiquent tous les ans, dont plus de 4000 à la Clinique Lamartine. Le Docteur Stéphane Ganem a opéré plusieurs milliers de lasik depuis ses premiers cas en 1991, effectués pour l’évaluation pour le Ministère de la Santé.
Cette technique se différencie du Lasik par l’absence de découpe lamellaire. Après avoir retiré l’épithélium de la cornée par de l’application de solution alcoolisée ou une brosse, la photo ablation au laser excimer se pratique directement en surface de la cornée. Le laser gomme la surface de la cornée après en avoir retiré la couche superficielle ou épithélium (peau de la cornée). Elle est plus douloureuse les 2 premiers jours pendant lesquels l'épithélium repousse, et la récupération visuelle est plus lente. Elle est préférée au lasik lorsque la cornée est très fine. Cette technique utilise le même laser excimer que le LASIK. Les résultats à 15 jours sont parfaitement superposables à ceux du lasik. Les myopies fortes sont plus souvent opérées par lasik.
Non : ni votre entourage, ni vous ne pourrez le voir. Le regard, la couleur des yeux ne changent pas. Mais un ophtalmologiste pourra le voir grâce à des appareils informatisés.
Le LASIK est pratiquée couramment depuis 1993 pour la myopie ; depuis 1994 pour l’hypermétropie et l’astigmatisme. Le Docteur Stéphane Ganem, pionnier du lasik, à réalisé son premier traitement en 1991.
Cela est tout à fait possible à condition d'accepter qu'il y ait un décalage entre les deux yeux c'est à dire que le patient ainsi opéré verra de loin avec un œil et de près avec l'autre œil et ce sans correction. On pourra bien sûr toujours ajouter une correction, c'est à dire des verres de lunettes ou des lentilles permettant de voir des 2 yeux de loin et de près. Cette intervention dite à bascule ou monovision (un œil pour la vision de loin, un œil pour la vision de près), a pour avantage de permettre au patient presbyte de ne plus porter de lunettes dans la vie courante mais à l'inconvénient de supprimer la vision binoculaire utile pour la vision des distances.
La chirurgie de la myopie ne crée pas de presbytie mais la révèle. En effet, le patient myope peut le plus souvent lire sans lunettes de près, quelque soit son âge. Cependant, s’il est presbyte, il a besoin de retirer ses lunettes pour voir de près, ou de porter des lunettes pour la vision de près s’il porte des lentilles en vision de loin. Après intervention par Lasik, le sujet de plus de 45 ans aura besoin de porter des lunettes pour voir de près puisqu'il ne sera plus myope.
Le lasik permet actuellement de réduire la presbytie. De nombreux programmes lasers ont eu pour vocation de traiter la presbytie, sans succès. Cependant, chez l’hypermétrope avec presbytie débutante, le traitement de l’hypermétropie corrigera temporairement la presbytie. Il est aussi possible de sur corriger légèrement un œil pour réduire la presbytie. Il s’agit d’obtenir une bascule, un œil réglé de loin et l’autre de près. Cependant, dans ce cas là, il y aura une perte de l'acuité visuelle de loin sans correction, puisqu'on aura favorisé l'acuité visuelle de près sans correction.
Il peut arriver que vous présentiez une myopie forte associée à d’autres pathologies oculaires qui limiteront votre vision après l’intervention. L’opération permet alors de réduire la puissance des verres correcteurs, ou de les supprimer, mais pas de vous donner un œil des plus performants atteignant une acuité de 10/10. Vous atteindrez sans correction une acuité proche de celle que vous avez avec vos lunettes.
Cela est possible, surtout chez les myopes très forts, du fait des aberrations optiques (phénomène de halo, léger dédoublement), d’amétropie résiduelle. Cependant cela est compensé par le confort apporté par l'absence de verres épais dans la vie courante. La vie sans lunettes sera possible, mais dans certaines conditions :conduite nocturne, cinéma, le port de verres très fins pourra encore améliorer les performances visuelles.
Cela est souvent le cas, car du fait de l'épaisseur des verres correcteurs, des aberrations optiques sont engendrées par les lunettes, notamment lorsque l'on regarde à travers les parties latérales des verres. De plus, les verres épais réduisent le champ visuel, ce qui ne se produit plus après chirurgie de la myopie. Cependant, un patient dont l'acuité visuelle corrigée ne peut atteindre 10/10ème avant lasik à peu de chance de voir 10/10ème après l'intervention. En effet, dans l'acuité visuelle intervient non seulement le degré de myopie, mais également la qualité de l'œil dans son ensemble : cornée, cristallin et surtout rétine qui est souvent moins performante chez le myope que le non myope.
La myopie, notamment la myopie forte, réduit les performances de la rétine, surtout en vision mésopique (avec un faible éclairage). Cet aspect ne sera malheureusement pas amélioré avec le lasik qui se contente de supprimer les lunettes ou les lentilles.
Cela est tout à fait possible. Des lentilles souples peuvent parfaitement être adaptées après chirurgie par lasik en cas de myopie résiduelle. Mais le besoin en est exceptionnel.
La cicatrisation cornéenne a tendance à engendrer une légère régression de l’effet du lasik qui, dans quelques rares cas, aboutit à la réapparition d’une très légère amétropie. Tout myope, notamment les myopes forts, peut voir sa myopie légèrement augmenter avec le temps. Certains âges sont plus favorables telle que l'enfance et l'adolescence, et après une grossesse. Cependant, l'évolution de cette myopie est généralement faible. C'est la raison pour laquelle dans certains cas, quelques années après le Lasik on observe une légère amétropie. Cela n'empêche pas la vie sans lunettes, mais impose le port de lunettes lors de certaines activités telles que la conduite d'un véhicule, le cinéma, etc... Insistons sur le fait que cette amétropie d'un œil opéré sera faible, incomparable avec l’amétropie initiale, et une retouche sera le plus souvent possible.
La réponse à cette question impose des précisions concernant le terme " échouer ". Une fois encore, en aucun cas le laser ne peut être inefficace dans le traitement de la myopie, de l'astigmatisme ou de l'hypermétropie. Cependant, il peut arriver que ce traitement ne permette pas d’atteindre une vision de 10/10. L'acuité visuelle sans correction sera améliorée de façon considérable, mais il peut persister une petite myopie résiduelle que l'on pourra éventuellement retraiter. Comme nous l'avons vu des effets secondaires peuvent apparaître tels que des phénomènes de halos nocturnes, d'éblouissements, mais il s'agit là plus d'effets secondaires que d'échec. Certaines complications exceptionnelles seront cependant considérées comme un échec : cicatrice, ectasie…exceptionnelles.
A l'heure actuelle, la chirurgie cornéenne au laser ou au lasik a plus de 20 ans de recul. De plus, le lasik est une amélioration considérable d'une technique plus ancienne : le kératomileusis, amélioration due à la précision du surfaçage de la cornée par le laser Excimer. Les phénomènes de cicatrisation sont sûrement meilleurs après surfaçage au laser (lasik) qu'après surfaçage mécanique (kératomileusis). Le kératomileusis est réalisé depuis les années soixante. Aussi, peut on considérer que cette technique, actuellement extrêmement précise, est très au point et que son taux de réussite et de satisfaction du patient est extrêmement élevé.
L'amélioration technologique dans le domaine de la chirurgie est inéluctable. Cependant, la qualité des résultats actuels et l'engouement des patients pour cette chirurgie, font penser que les améliorations ne porteront que sur des détails techniques chirurgicaux.
Toutes les interventions sont possibles après lasik, dans les mêmes conditions que pour ceux qui n’ont jamais bénéficié du Lasik : cataracte, glaucome, décollement de rétine… Le calcul d’implant pour la cataracte est plus complexe après lasik, mais le chirurgien expérimenté saura être précis dans ce calcul.
Oui, tant qu'on le souhaite, mais attention au déséquilibre entre les yeux, qui peuvent engendrer vision double, céphalées. Il ne faut pas retirer un des verres des lunettes, pour compenser ce déséquilibre. La vue est alors dédoublée car le cerveau ne peut fusionner une image provenant d’un œil avec verre et un autre sans verre correcteur. L'idéal est de porter une lentille sur l'œil non traité, ou de traiter les deux yeux dans la même séance.
Les réglementations concernant les aptitudes visuelles des professions sont continuellement modifiées. Il est donc indispensable que vous vérifiez vous même auprès des administrations concernées si une intervention de chirurgie réfractive est acceptée (armée, police, gendarmerie, marine, pompiers, SNCF, transport aérien ou routier, etc…)
Oui, surtout si les degrés d'amétropie (Myopie, Astigmatisme) sont différents
Oui, c’est pour cela que le Docteur Ganem a crée une Clinique et l’a équipée de laser les plus performants, régulièrement contrôlés, remplacés par d’autres plus performants.
Non, tout dépend de votre disponibilité et des quelques exigences en fonction de vos activités professionnelles et sportives.
Non, mais est inutile d’être opéré d’un Lasik dans ce cas ; mieux vaut opérer de la cataracte et ainsi corriger la myopie, l’hypermétropie, l’astigmatisme et la presbytie en même temps.
Bien sûr, la chirurgie de la cataracte ne demande aucun changement technique après un LASIK. Seul le calcul de la puissance de l’implant demande plus d’expérience.
Oui. Par exemple, un œil myope après une opération de cataracte peut bénéficier d’un Lasik, dans les mêmes conditions qu’un œil non opéré.
Oui ; le laser Argon renforce la rétine. Le Lasik traite la cornée. Les deux traitements sont indépendants, et le laser Argon peut être indiqué après Lasik.
Oui, si le nerf optique n’est pas trop altéré par le glaucome. Le contrôle régulier de la tension s’impose régulièrement avec ou sans Lasik. La mesure de la tension tiendra compte de l’épaisseur cornéenne après Lasik.
Non, mais mieux vaut vous opérer lorsque vous êtes en bonne santé. Les maladies doivent être alors contrôlées avant le Lasik.
C’est très simple… Téléphonez au secrétariat du Docteur Stéphane Ganem 33 (0)1 45 55 58 31 et prenez un rendez-vous pour une consultation. Les opérations Lasik ont lieu le Vendredi matin. Informez la secrétaire de votre souhait pour réserver une date. Après l’examen, le Docteur Stéphane Ganem confirmera que vous pouvez bénéficier d’une telle opération. Il vous remettra un devis, une ordonnance, une plaquette sur la Clinique, une date opératoire.
Un bilan ophtalmologique complet est nécessaire, avec dilatation pupillaire. Il faudra retirer vos lentilles au moins 48 heures avant l’examen. Un interrogatoire permettra de connaître vos activités, vos antécédents, vos motivations. Toutes les informations sur l’opération vous seront exposées. Un consentement éclairé, un devis, un dossier complet sur le lasik et la Clinique Lamartine, ainsi qu’une ordonnance vous seront remis.
Dans 99% des cas : le but est atteint avec un seul LASIK. Dans 1% des cas restants : une retouche est nécessaire. Elle est programmée quelques mois après le lasik, après stabilité réfractive. La retouche ne nécessite pas une découpe de lamelle. Elle est rapide et indolore.
Il n’y a pas de suivi particulier, en dehors des contrôles habituels.
L’instillation de collyre anesthésiant permet une anesthésie suffisante de la surface de l’œil. Un comprimé d’Atarax pris une heure avant le lasik permettra de vous détendre et vous aidera à dormir après le lasik. On ne pratique jamais d’anesthésie générale ou régionale
NON. C’est une chirurgie indolore, aussi bien pendant l’intervention qu’après.
Non. Le LASIK se pratique en ambulatoire : vous arrivez 30 minutes avant l’intervention et vous ressortez aussi tôt l’intervention terminée.
Non. La longueur d’onde du laser (193 nm) n’est pas dans le spectre visible.
Pour les deux yeux : 10 à 15 minutes : désinfection, mise en place des champs stériles, blépharostat, laser femto seconde, laser excimer, repositionnement de la lamelle …). La durée du traitement laser en soi est variable en fonction du défaut optique à traiter : entre 4 et 30 secondes.
Après l’anesthésie locale, le chirurgien met en place un petit appareil (blépharostat) qui ouvre doucement et maintient les paupières ouvertes.
Oui, à certains moments. Mais tout est organisé pour cela, et personne ne bouge beaucoup pendant le traitement. Les petits mouvements sont sans importance. Pendant le LASIK vous êtes allongé(e) et votre tête est immobilisée : ainsi, vos mouvements sont limités. La mise en place de la ventouse ou anneau pneumatique pour la découpe de la lamelle immobilise l’œil, mais il faut éviter de bouger malgré cela. Le Docteur Stéphane Ganem vous parlera et vous rappellera qu’il ne faut pas sursauter à certains moments. Durant le traitement au laser excimer, il faut fixer une lumière verte, immobile, qui se trouve au dessus de vous, à la verticale. Le laser est doté d’un « eye-tracker », qui repère la pupille et la suit lorsque l’œil bouge. Si le mouvement est trop important, le laser s’interrompt, vous devez alors fixer à nouveau la lumière verte. Le traitement peut reprendre au niveau où il s’est interrompu.
Trois jours après, sauf pour les sports violents où il faudra attendre 1 mois. La natation doit être pratiquée avec des lunettes pour éviter les conjonctivites et l’irritation par l’eau de javel.
Ce traitement associe des collyres antibiotiques, anti inflammatoires pendant 6 à 8 jours, et des larmes artificielles plus ou moins longtemps selon la sécheresse oculaire.
Ses titres : ancien interne des hôpitaux de Paris ou d’une grande ville, ancien chef de clinique, fonctions hospitalières prolongées à un poste de responsabilité comme Chef de Service dans un hôpital reconnu comme spécialisé en chirurgie réfractive. Son hyper spécialisation dans le lasik, mais au moins compétent dans toutes les chirurgies réfractives et la cataracte. Son expérience : plus de 1000 lasik. Son lieu d’exercice : un Centre très spécialisé et parfaitement équipé, des blocs irréprochables. Sa disponibilité : un médecin qui part en congrès toute les semaines ne sera pas disponible pour vous. Si vous pouvez le joindre sur son téléphone mobile même le week-end et ne pas passer par son secrétariat pour vous rassurer après l’opération, c’est mieux. Publications : sur la chirurgie réfractive, organisation de congrès. Surtout le bouche à oreille de patients, le contact et la confiance que le chirurgien vous inspire.
Les motivations peuvent être nombreuses: - qualité visuelle : les lunettes peuvent amputer le champ visuel, les verres progressifs et les lentilles être mal tolérés, et rendre la vision floue. - motivations de confort, de convenance personnelle : ne plus avoir à chercher ses lunettes, à mettre et entretenir des lentilles ou tout simplement désirer une vision sans contrainte. En particulier à l'âge de la presbytie quand on doit porter des verres progressifs. - motivations esthétiques ou psychologiques : sensation de mieux-être, amélioration de l'esthétique, rajeunissement... - motivations sportives :: sports nautiques, sports exposés à la perte d'une lentille, à la poussière, sports violents, de contact... - motivations professionnelles : certains métiers exigent une bonne vision sans correction ou sont difficilement compatibles avec le port de lunettes ou de lentilles.